E3 Saxo Classic : une journée orageuse se prépare en Belgique avec des vents allant jusqu’à 75 km/h
Des tempêtes et une dure journée de course sont attendues pour l’édition 2023 de l’E3 Saxo Classic, avec des vents prévus jusqu’à 75 kmh cet après-midi et un mélange de grêle et d’averses de pluie qui s’abattent sur le peloton.
Les prévisions météorologiques locales de ce matin pour la Belgique indiquaient qu’« aujourd’hui est une journée orageuse au programme avec beaucoup de vent du sud-ouest. Les rafales de vent peuvent atteindre 75 km/h avec quelques orages l’après-midi. Les rafales de vent peuvent alors devenir encore plus fortes.
Les températures maximales ont été fixées pour atteindre un maximum de 13 degrés Celsius.
Les prévisions n’ont pas été bien accueillies par le peloton, en particulier après que le mauvais temps a affecté la Classic Bruges-De Panne mercredi, qui a été affectée par des vents violents et des pluies torrentielles, créant des échelons et brisant le peloton.
Jasper Philipsen (Alpecin-Deceuninck) a gagné dans un groupe de tête de quatre mais a été laissé couvert de pluie et de boue.
L’organisateur de la course, Jacques Coussens, a déclaré Het Laatste Nieuws (s’ouvre dans un nouvel onglet) que « nous avons fait tout ce que nous pouvions pour rendre le parcours encore plus sûr pour les coureurs. Nous avons réparé les bannières et les appartements hier soir. Nous avons également parcouru tout le parcours avec une balayeuse.
Le soleil a brièvement brillé lors de la présentation de l’équipe mais la pluie est vite revenue. Il y avait aussi une forte brise.
« Je pense que ça va être comme ça toute la journée, quelques averses et du vent », a déclaré Tadej Pogačar (UAE Team Emirates) avant de signer.
« Je pense que cela va rendre la course plus intéressante. »
« Aujourd’hui, avec le vent et quelques averses, ça va être très nerveux dès le début. Il pourrait déjà y avoir des écarts dans les premiers kilomètres », a déclaré Zydnek Stybar (Jayco-AIUIa), vainqueur de l’E3 en 2019 et deuxième en 2015. Actualité du cyclisme.
Il reste à voir si les conditions météorologiques notoirement imprévisibles de la Belgique changent au cours de la course de 200 kilomètres et de cinq heures sur les pavés et les collines du nord-ouest de la Belgique.
Comme Sporza.be (s’ouvre dans un nouvel onglet) l’a dit joyeusement ce matin, « ce sera une journée typiquement belge avec des dieux du temps très capricieux ».